Notre peur la plus profonde…
Nous sommes tous habités par un certains nombre de peurs, ces peurs peuvent nous freiner, nous bloquer, nous tétaniser… Mais avez-vous conscience de ce qui pourrait être notre peur la plus profonde?
Avez-vous une idée? Et c’est probablement pas la peur à laquelle vous pensiez!
Voici la réponse de Marianne Williamson tiré d’un extrait de son livre Un Retour à l’Amour.
Notre peur la plus profonde
n’est pas que nous ne soyons pas à la hauteur,
Notre peur la plus profonde est que nous sommes puissants au-delà de toutes limites.
C’est notre propre lumière et non notre obscurité qui nous effraie le plus.
Nous nous posons la question…
Qui suis-je, moi, pour être brillant,
radieux, talentueux et merveilleux ?
En fait, qui êtes-vous pour ne pas l’être ?
Vous êtes un enfant de Dieu.
Vous restreindre, vivre petit,
ne rend pas service au monde.
L’illumination n’est pas de vous rétrécir
pour éviter d’insécuriser les autres.
Nous sommes tous appelés à briller, comme les enfants le font.
Nous sommes nés pour rendre manifeste
la gloire de Dieu qui est en nous.
Elle ne se trouve pas seulement chez quelques élus,
elle est en chacun de nous,
Et, au fur et à mesure que nous laissons briller notre propre lumière,
nous donnons inconsciemment aux autres
la permission de faire de même.
En nous libérant de notre propre peur,
notre puissance libère automatiquement les autres.
Marianne Williamson
Ce magnifique texte nous invite à nous rappeler de notre nature profonde, nous avons le pouvoir de changer le monde, en changeant notre propre monde intérieur. Nous sommes cette étincelle divine qui ne demande qu’à éclairer de sa lumière, le chemin de notre Vie.
Retrouvons cette lumière qui brille en chacun de nous, puissions-nous la ressentir, puissons-nous l’apprivoiser et nous rappeler de qui nous sommes vraiment, au delà des masques, au delà des dogmes, au delà des croyances.
Vivez des séances d’hypnose spirituelle pour connecter à qui vous-êtes vraiment afin de retrouver votre puissance d’amour, au-delà de toutes limites.